Il n'y a plus d'après à St Germain-des-Prés... J'ai souvent cet air dans la tête mais aujourd'hui c'est différent.
Et si d'habitude
Oui, le matin, je continuerai à chanter... mais dorénavant avec une douce pensée à celui qui n'est plus depuis aujourd'hui. Hommage à Guy Béart, le chanteur, le compositeur, le poète.
Que de refrains chantés, que de chansons fredonnées... de si beaux textes, un vrai poète.
Voici un disque qui appartenait à mes parents et que j'ai conservé après en avoir maintes et maintes fois chanté toutes les chansons que je connaissais par coeur lorsque j'étais toute petite. Enfin pour certaines, trop tristes à mon goût, je passais à la suivante bien vite.
Il nous restera de lui tant de chansons en cinquante ans de carrière ; je suis sûre que vous en avez fredonné certaines, comme celles qui commencent ainsi :
Il n'y a plus d'après à St Germain des Prés...
ou bien
Mon amant me délaisse, O gué vive la rose...
et encore
Ma petite est comme l'eau, elle est comme l'eau vive...
et puis celle-ci
Qu'on est bien dans les bras d'une personne du sexe opposé...
Merci Guy Béart.